L'homosexualité est-elle une réalité libre de tout soupçon et d'inquiétude ? (futur livre ?)

«Dans la nature, toutes les espèces se dévorent: toutes les conditions se dévorent dans la société.»
Denis DIDEROT

Il s'agira de départir ce qui vient de la «nature» des différences liées au sexe et au genre(1), par rapport aux idéologies et phénomènes culturels qui les surchargent.

Une attitude moralisante conduit à définir les êtres humains selon une particularité de leurs relations sexuelles. 

La sexualité est alors définie en terme d'être, en tant qu'attribut d'identité comme si l'on pouvait réduire un sujet à son comportement sexuel favori. 
C'est pour une autre théorie sexuelle qu'il faut réfléchir. 

Car l’idée, portée par Freud et Fliess, pousse à exégèse, selon la manière dont elle est ramenée. Au delà de ses ouvertures sur le monde social et notre condition biologique, c’est en termes d’oppositions épistémologiques qu’elle est intéressante et qu’elle porte à contradiction, comme levier, catalyseur, ou partie d’une dialectique, à un moment historique particulier. C'est l'éternel débat entre psychanalyse et biologie.

C'EST L'IDÉE DE LA BISEXUALITÉ (limite du modèle du comportement de reproduction) 

CQFD : Le « devenir-homosexuel » ne consiste-t-il pas à marcher dans  le sens d'une disparition des identités sexuelles ? 

Plutarque affirmait que « celui qui aime la beauté humaine sera favorablement et équitablement disposé envers les deux sexes, au lieu de supposer que les hommes et les femmes diffèrent sous le rapport de l'amour comme sous celui du vêtement »

Quand tout le monde roule dans la mauvaise direction, le contestataire apparaît comme un empêcheur de tourner en rond, que ce soit sur l’île de Pâques ou chez nous. 

(1) : http://cdarmangeat.blogspot.fr/2018/04/une-intervention-lecole-francaise-de.html